Présentation
Panique Olympique débarque à Poitiers ! En 2015, Agnès Pelletier crée à Niort la biennale Panique au Dancing dédiée à la danse dans l’espace public. En 2017, elle initie Panique Olympique – première, une irruption chorégraphique décalée qui voit chaque année des centaines de danseurs et non-danseurs envahir les lieux publics de plusieurs villes de Nouvelle-Aquitaine. Pendant le Festival À Corps, plus de 80 habitants de Grand Poitiers rejoindront le mouvement pour ce projet à l’échelle de notre région qui, durant sept ans, s’amplifiera jusqu’à déferler lors du lancement des Jeux Olympiques 2024. À chaque édition, sa création, nouvelle pièce écrite pour un grand nombre d’interprètes et conçue pour surgir au cœur de la ville. Une aventure chorégraphique collective et joyeuse !
Horaires / lieux
Participez !
Nous recherchons 80 personnes pour rejoindre le projet Panique Olympique – seconde. Aucune expérience de la scène requise, seule condition : s’engager pour l’ensemble des répétitions et le temps de la représentation.
Distribution
Projet participatif sur 7 ans de 2018 à 2024, initié et produit par les festivals Panique au Dancing à Niort et Festival International des Arts de Bordeaux Métropole (FAB), co-organisé en 2019-2020 par l’Avant-Scène Cognac, scène conventionnée d’intérêt national « art et création » pour les arts du mouvement – Festival Mars Planète Danse / Carré-Colonnes – scène conventionnée d’intérêt national mention « art et création » / Festival International des Arts de Bordeaux Métropole (FAB) / Festival Panique au Dancing-Niort / Le Moulin du Roc, Scène nationale à Niort / TAP – Théâtre Auditorium de Poitiers, Festival À Corps / Théâtre le Liburnia / Fest’arts – Libourne.
Conception et chorégraphie Agnès Pelletier
Assistée de Christian Lanes
Avec 80 danseurs et non danseurs de Grand Poitiers rejoints par ceux venus de toutes parts
Biographie
Agnès Pelletier
Agnès Pelletier, chorégraphe de la Compagnie Volubilis, invente des spectacles qui se décalent malicieusement de la vie. Elle a choisi d’explorer des territoires en marge, que ce soit dans l’espace public ou dans des lieux atypiques, afin que les espaces « imprévus » ou peu conventionnels puissent alimenter sa matière chorégraphique tout en l’inscrivant dans le scénario du réel.